Madouc

Maral duul' krik'vlicss dite Madouc (sur Hyperion)

Hyperion est un serveur 100 % français passé en C4, avec une forte tendance roleplay, mais tout joueur quelque peu mature est accepté : http://www.hyperion2.org

c'est un serveur x1 (donc xp lent, mais bonne ambiance Horde Orc contre les autres^^)

je suis de temps en temps dessus lorsque nighmare est down (juste besoin de copier/coller le dossier systeme de lineage et de mettre le loader, et de s'inscrire)






et je lui ai meme fait un petit background roleplay :


Lorsque je me souviens des heures passées à écouter les hauts dires et les hauts faits des membres de l’influente Famille Sheindar, ma famille ; je suis parfaitement stupéfaite de l’inanité de ces années...

On me voulait seigneur sentinelle de Shilen. Je m’exécutais sans passion, tuant et rapportant des reliques pour la prospérité de notre peuple.

Un soir, un groupe composé d’initiés de Shilen, guerriers et sorcières, fut envoyé dans les sombres forets des marches septentrionales pour ramener des Okres pour les futures cérémonies.

La nuit était tiède et silencieuse, baignée par la pâleur de la Lune. L'herbe humide nous rafraîchissait les bottes. Je marchais au coté de ma fière sœur Vierna qui guidait et commandait la troupe.

Soudain

« ...Des bruits sourds, des claquements, le fer contre le fer, des cris et des râles...voilà ce qui résonne dans ma tête...
… puis le silence...le bruits de pas sur les antiques pierres taillées...Et maintenant, la vision, le regard livide posé sur les stèles...les fines ciselures représentant les héros de jadis rougeoient du sang des vaincus…
… je regarde aux alentours, seule survivante…
…ma sœur enfuie du combat, pour sauver sa pauvre peau, nous laissant à la merci de nos ennemis…
… oubliée les principes de Famille et d’honneur du peuple sombre… oubliée sa sœur… me fait l’effet d’un coup plus tranchant que les armes de ces orcs…
… à terres mes compagnons d’armes, tués, pillés et même de fières combattantes besognées…
…. Je retrouve Vierna à quelques lieux, … elle recommence ses discours, ses bons offices…
… je lui tranche la gorge… »

Je revins à mon maître d’armes qui nous avait confié la récupération des Okres. Je les lui donna. Nul autre mot ne fût nécessaire. Je commençais à partir, je me retourna vivement. Je brisais mon épée.

Il me lança un regard étonné, puis, dans un hochement de tête, acquiesça et me congédia...définitivement.

Je quittais la Cité, avançant seul sur le chemin de mon destin.


Madouc l’effrontée
« je me moque de vos idéaux, vos idées hautes, du haut desquelles je me vautre »